Le nouveau statut fiscal des bailleurs privés, voté à l’Assemblée nationale et au Sénat, suscite de vives critiques. Destiné à relancer l’investissement locatif, il pourrait encore évoluer en décembre. En l’état de sa dernière mouture, le dispositif est jugé inopérant pour les primo-investisseurs, les classes moyennes et les mono-propriétaires.
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